Café et reproduction humaine, une longue histoire.
Vous ne pouvez pas le nier ! Après l'alimentation, la reproduction est la première préoccupation des espèces vivantes. Les humains ne font pas exception. Parler de café sans parler de sexe, c'est nier plus de 1 000 ans de coutumes, de totems et de tabous. On sait que les premiers consommateurs de café, les Oromo et leurs voisins, incluaient le café et les caféiers dans de nombreux rites de passage, notamment ceux liés au mariage et à l'élevage. Le grain de café rappelle certes les sillons, mais aussi le genre féminin. Ses modifications à la cuisson (écrasement, ouverture, doublement de volume) rappellent la grossesse.
Cette intégration des caféiers et des grains de café se retrouve encore dans de nombreuses cultures africaines traditionnelles telles que le Kenya, la Tanzanie et le Cameroun. Cette image persiste à ce jour. Parce que nos échographistes savent si le bébé enceinte dans l'utérus est une fille en regardant les "grains de café". Certaines personnes utilisent même des tasses de café en forme de cœur pour déclarer leur flamme !

Ce que l'on sait moins, c'est que tous ceux qui l'ont découvert ont débattu, et parfois même descendu dans la rue, des effets nocifs ou bénéfiques du café sur les performances sexuelles, masqués par les effets aphrodisiaques du café, comme l'utilisent certains auteurs comme Abu al-Tayyib al -Ghazi (1570-1651), qui aurait abusé de la reine en lui donnant du café Il y a peut-être... de l'élixir de la base... La légende est belle, mais anachronique. Peut-être Salomon, comme Ulysse et David, expérimentait-il seulement ce que nous voyons aujourd'hui comme un substitut du café : les grains grillés. C'est le Prophète Muhammad qui a dit qu'il pouvait contrôler 40 femmes sous l'influence du café. Au 17ème siècle, on débattait de l'interdiction faite aux femmes de consommer cette chose "stimulante", car à Paris elles étaient consumées par le pouvoir de l'esclavage et trempées dans l'érotisme oriental. Ainsi, Mesdames de Sévigné et de Pompadour appréciaient à la fois le café et ces discussions.
Café et sexe à l'époque moderne
Aux 18e et 19e siècles, les femmes en Europe, en particulier en Angleterre, étaient tellement préoccupées par cela qu'elles ont fait campagne pour interdire la vente de café. Le café était soupçonné d'infuser mon mari plutôt que d'interdire la bière (sic !). Seul Michelet considérait la « boisson du diable » comme « anti-érotique, imposant un alibi au sexe par l'éveil spirituel ».
Aujourd'hui, à une époque de pertinence et d'objectivité, on célèbre les vertus du café pour la prévention du cancer de la prostate, non plus en raison de ses propriétés vasodilatatrices, mais les aspects médicaux et fonctionnels prédominent. tachycardie. Ensuite, nous devons savoir pourquoi nous maintenons et maintenons le rythme.
La gastronomie est incomparable. Les putains considèrent l'invention de Third Monin pour verser une goutte de lait dans du café noir comme absolument parfaite. Et l'un des desserts les plus populaires au monde, le tiramisu (littéralement "me ramasser") était autrefois servi dans les bordels. Pour "réinitialiser la table à manger". Nous buvons et mangeons évidemment plus que nous ne mangeons, mais il existe de nombreux signes et sensations.